Baignée de ses rayons, la femme, aux yeux du jour,
Ouvrit ses paupières lourdes de sommeil et dit
Le silence murmuré, entre ses lèvres closes.
J'ai dit tant de mots pour en signifier d'autres,
Et employé mes gestes à ne point me trahir.
Nul n'a percé à jour ce que je retenais
Brûlant au fond de moi, bouleversant émoi.
Comme je sens cet amour si puissant qu'il m'effraie,
Que de l'autre il ne reste qu'un lointain souvenir
Que je chéris toujours, tel un dévot apôtre,
Je m'en remets aux lois de ton regard narquois...
dimanche 25 avril 2010
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L'odeur. C'était surtout son odeur. C'est ce qui me manquera le plus, et davantage encore quand je l'aurai totalement oubliée.
RépondreSupprimerLaisserais-tu revenir
RépondreSupprimerA la saison prochaine
Cet être qui t'a bouleversée ?
Car lui, depuis des mois, crie dans la nuit.
Espérant un écho ; entendre celle
Avec qui il veut continuer sa vie...
Tous ces mots qu'il a pardonné
Et ces maux qu'il a apaisé
Il sait à présent que son choix n'est plus la fuite
Et qu'il veut la chérir et l'aimer
Autant que ces viles auteurs et autres scénaristes
Leur permettront d'être heureux, à nouveau.