Éternelle alanguie, ta délivrance est proche.
Vois donc, au loin déjà les tempêtes approchent.
Ton doux espoir tranquille, mû par le vent s'éloigne,
Et les bourrasques folles, en chœur, toutes, t'enjoignent
De laisser au passé cette affliction légère
Qui comprime ton sein, qui vilement t'enserre.
J'avais cru oubliés les beaux tourments d'hier,
Ceux qui de ton destin ont changé le tracé,
Comme si d'un miroir on regarde l'envers
Quand pourtant se reflètent les terreurs du passé.
Mais va donc, et profite des éléments sauvages,
Ne laisse pas ta vie redevenir mirage !
jeudi 15 juillet 2010
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